La réorganisation de l’administration locale du secteur permettra aux vétérinaires d’accomplir leur rôle.
Le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Mohamed Abdelhafid Henni a affirmé que la réorganisation de l’administration locale du secteur permettra aux services vétérinaires d’accomplir leur rôle plus efficacement, invitant ces services à formuler des propositions dans ce sens, a indiqué un communiqué du ministère.
Le ministre s’exprimait lors d’une réunion tenue lundi avec les membres du bureau national du Syndicat des vétérinaires relevant de l’administration publique, en présence de cadres du ministère.
« La révision et la structuration de l’administration locale du secteur permettra aux services vétérinaires de bénéficier d’un meilleur règlement et de moyens les habilitant à accomplir leurs missions plus efficacement sur le terrain, notamment de contrôle et de suivi », indique la même source.
Il a appelé, dans ce sens, les membres du bureau national du Syndicat des vétérinaires relevant de l’administration publique à participer à la réorganisation du secteur aux niveaux, central et local, en formulant des propositions pour une meilleure performance et efficacité.
M.Henni a souligné l’importance pour « les services vétérinaires, à l’instar des autres services du secteur à s’adapter aux développements et aux changements enregistrés sur les plans sanitaire et économique ».
La réunion a permis aux syndicalistes de présenter au ministre, un exposé sur les entraves rencontrées par les services vétérinaires lors de l’accomplissement de leurs missions sur le terrain.
Après avoir écouté leurs préoccupations, le ministre a mis en avant le rôle des services vétérinaires dans la préservation de la santé animale et générale, de par leur contribution au développement de l’économie nationale.
La rencontré a été ponctuée par un débat sur d’autres questions, dont l’augmentation de la production nationale pour couvrir les besoins du marché et la promotion des exportations de produits agricoles, outre la problématique des maladies émergentes et leur impact sur la santé animale et générale, conclut le communiqué.