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banane - photo : DR

Pourquoi les prix des produits alimentaires baissent en Algérie ?

La chute des prix des produits alimentaires est justifiée par un représentant du ministère du Commerce.

Ahmed Mokrani, Directeur de l’organisation des marchés et des activités commerciales au ministère, a donné la raison de la chute des coûts des produits alimentaires.

En effet, cela s’explique simplement : une chute de la demande des produits entraîne aussi une chute de leurs prix. C’est l’explication du Directeur de l’organisation des marchés et des activités commerciales au ministère du Commerce, Ahmed Mokrani, que rapporte nos confrères de Algérie Presse Service (APS). On note que cette explication fait suite à la question récemment abordée sur la chute des prix des aliments, observée en Algérie.

Par ailleurs, les consommateurs ont constaté des améliorations significatives des prix affichés sur les aliments, ces derniers jours. On a aussi remarqué la réapparition de certains aliments dans les étalages des marchés, des produits qu’on ne trouvait presque plus, et qui désormais ne seront plus l’objet de soucis pour les consommateurs.

Bien évidemment, le taux de consommation, en chutant après le mois sacré, a entraîné une accumulation des produits alimentaires sur les marchés. C’est l’analyse d’un responsable du ministère du Commerce, qui justifiait la baisse significative des prix des produits alimentaires. Une situation qui, d’autre part, se présente comme un soulagement pour les consommateurs qui ont souffert pendant le mois de Ramadan.

Exemple du kilo de banane, actuellement vendu à 330 DA

Le prix de la banane se fixe à 330 DA, après des chiffres sans précédent

Après le mois saint, il y a eu une forte chute des prix de quelques produits. En effet, en plus des viandes blanches, comme le poulet, dont les coûts ont considérablement baissé, ceux des légumes et des fruits sur le marché n’ont pas été épargnés, sachant que la récolte des cultures saisonnières a commencé.

En outre, concernant cette réduction des prix, la surveillance des transactions de commerce extérieur a aussi eu un impact sur la régulation du marché, selon le même interlocuteur. Une surveillance conjuguée avec le secteur agricole, à travers la délivrance de licences d’importation aux entrepreneurs. C’est l’exemple du kilo de banane, actuellement vendu à 330 DA.

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